Investir dans le projet éolien de Longueil et Saint-Denis-d’Aclon

Investir dans le projet éolien de Longueil et Saint-Denis-d’Aclon

A compter du 10 septembre, les citoyens sont invités à participer au financement du projet éolien de Longueil et Saint-Denis-d’Aclon. Organisée avec la plateforme spécialisée Tudigo, cette campagne de financement participatif réserve un taux d’intérêt bonifié aux riverains du projet.

Toutes les informations sont disponibles sur le site de Tudigo 

page acceuil Tudigo Longueil

L’implantation des éoliennes

L’implantation des éoliennes

A l’issue des différentes études techniques et environnementales, VALOREM peut définir l’emplacement de chaque éolienne. Nous comparons plusieurs variantes d’implantation puis choisissons la plus adaptée aux enjeux du territoire. Celle-ci respecte les recommandations des bureaux d’études et des services de l’Etat, tout en assurant une production d’électricité optimale.
L’implantation des 4 éoliennes de Longueil et Saint-Denis-d’Aclon concilie ainsi insertion paysagère et prise en compte des enjeux environnementaux.  L’étude paysagère a notamment recommandé de suivre les lignes de forces des vallées et des autres parcs existants, ainsi que de porter une attention particulière aux monuments historiques présents sur la zone.

L’implantation a été établie en concertation avec le comité de pilotage du projet.

Implantation du projet éolien de Longueil et Saint Denis d'Aclon

Implantation du projet éolien de Longueil et Saint Denis d’Aclon

Le comité de pilotage, une instance pour définir le projet

Le comité de pilotage, une instance pour définir le projet

Le comité de pilotage permet d’instaurer une approche territoriale globale. Animé par VALOREM, il réunit les acteurs du territoire afin d’évaluer les enjeux locaux et d’élaborer un projet éolien adapté adapté aux communes de Longueil et Saint-Denis-d’Aclon.

Ont été sollicités les élus, des riverains, les services de l’Etat, des représentants d’associations, des propriétaires des parcelles concernées par l’implantation…

  • Octobre 2017, en mairie de Longueil : Réunion de mise en place du comité de pilotage, définition de la zone d’implantation potentielle des éoliennes et du planning des études de faisabilité (écologie, paysage, acoustique). Les participants ont listé les personnes à inviter aux prochaines réunions. Présence du maire, d’une 1ère adjointe et d’un conseiller municipal de Longueil ainsi que du 1er adjoint de Saint-Denis-d’Aclon.
  • Mars 2018, en mairie de Saint-Denis-d’Aclon : Echanges sur les avancées et les prochaines étapes du projet, point intermédiaire sur les études écologiques. Les participants : élus de Saint Denis d’Aclon, élus de Longueil, élus d’Avremesnil, élus de la Communauté de communes Terroir de Caux, représentants des services de l’Etat, propriétaires, exploitants agricoles et/ou riverains, Bureau d’études ALISE ENVIRONNEMENT
  • Décembre 2018, en mairie de Saint-Denis-d’Aclon : Validation de l’implantation des éoliennes et échanges sur les aménagements hydrauliques. En présence des maires des communes de Longueil, Saint Denis D’Aclon et Avremesnil, ainsi que des exploitants concernés par les aménagements hydrauliques.

Le comité de pilotage du projet éolien de Longueil et Saint-Denis-d'Aclon

L’étude de faisabilité

L’étude de faisabilité

Au travers de différentes thématiques, l’étude de faisabilité analyse très précisément les spécificités de la zone d’implantation potentielle des éoliennes. Elle est réalisée par une équipe pluridisciplinaire composée d’experts indépendants (naturalistes, paysagistes, acousticiens, architectes, géomètres…) et permet de déterminer les caractéristiques du parc (nombre d’éoliennes, localisation, dimensions).

Le potentiel éolien
En tant que développeur du parc éolien des Longs Champs, VALOREM connaît précisément le gisement de vent sur le secteur. Celui-ci s’élève à 6,7 m/s à 70 m d’altitude, soit 23,8 km/h. La rose des vents ci-contre indique des vents dominants de secteur sud-ouest.

L’étude environnementale
Réalisée par le bureau d’études Alise Environnement (76), cette étude porte sur les oiseaux, les chauve-souris, la faune terrestre et la flore. Pendant un cycle biologique annuel, des spécialistes recensent les différentes espèces, enregistrent leur occupation du site et analysent les impacts potentiels du futur parc éolien. Les inventaires ont eu lieu de septembre 2017 à l’été 2018.

L’étude acoustique
La loi française est extrêmement ferme et respectueuse des riverains des parcs éoliens. Au niveau des habitations les plus proches, l’émergence sonore générée par les éoliennes doit être inférieure à 5 décibels le jour et 3 décibels la nuit par rapport au bruit initial (avant l’implantation des turbines).
En avril 2018, 7 sonomètres ont été installés pendant 1 mois, au niveau des habitations proches de la zone d’étude afin de connaître le niveau de bruit ambiant existant actuellement. En parallèle, VALOREM a installé un SODAR afin de connaître précisément le vent présent à haute altitude pendant ces mesures. Nous pourrons ainsi simuler très finement la contribution sonore des éoliennes et nous assurer du respect de la réglementation.

Une campagne de mesures acoustiques est réalisée après la mise en service des éoliennes.

L’étude du paysage
A partir de 4 périmètres d’étude, Marie-Pierre GOSSET, experte paysagiste, a analysé les éléments structurant le paysage local :

• les lignes de relief, l’hydrologie, les boisements,
• le patrimoine culturel et touristique (églises, châteaux…)

• les voies de communication, les lieux de vie,
• les projets et parcs éoliens aux alentours, les lignes électriques, les châteaux d’eau…
La paysagiste propose ensuite des points de vue emblématiques et des scénarios d’implantation intégrant au mieux les éoliennes au paysage.

Emplacement des sonomètres et du SODAR du projet éolien de Longueil et Saint Denis d'Aclon

 

La zone d’étude

La zone d’étude

La zone d’implantation potentielle est définie selon des critères propres à l’installation d’éoliennes :
• Un éloignement d’au moins 500 m des habitations, comme la réglementation française l’impose,
• Une bonne exposition au vent dominant,
• Un raccordement au réseau électrique possible,
• Aucune contrainte majeure liée à l’environnement ou la réglementation,
• Une zone définie comme favorable aux extensions de parcs éoliens existants.